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Contributions

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Des interférences temporelles

Heureuse initiative due à Yves di Manno, directeur de la collection, et Philippe Mikriammos, préfacier, qui nous permet de prendre aujourd’hui la mesure de l’importance de l’œuvre de Daniel Fano: préparée avec l’auteur de son vivant, cette édition, publiée en janvier 2024 dans la collection Poésie/Flammarion, Papier pelure: 1969-1999, couvre trois décennies de création poétique.

Eric Brogniet

Daniel Fano

pour

Lancement du « cycle de la nuit »

Vernissage de l’exposition des peintures de Jacques Crickillon et lancement du “Cycle de la Nuit” aux éditions L’Arbre à Paroles, Maison de la Poésie d’Amay, samedi 27 janvier 2024.

Eric Brogniet

Jacques Crickillon

pour

Il aura fallu un rêve

J’ai rêvé de vous cette nuit. Ce n’est pas la première fois que vous apparaissez dans des songes nocturnes traversés de visiteurs variés, amis, famille, comédiens, auteurs, parfaits inconnus, masculins, féminins, non genrés, vivants ou disparus…

Véronique Biefnot

Jacques De Decker

pour

Théâtre et écriture radiophonique chez Jacques Crickillon: Sommeil blanc, Le Cobra noir, Avec Ramses, critique de la tyrannie et crise existentielle

Jacques Crickillon a écrit plusieurs textes pour le théâtre et des pièces radiophoniques. Deux textes radiophoniques ont été diffusés par la RTBF en 1981, dans une réalisation et mise en ondes de Thierry Genicot: Sommeil blanc, Le Cobra noir; en 1984

Thierry Genicot et Eric Brogniet

Jacques Crickillon

pour

Crickillon “mythologue”

Ne répétons pas ce qui a déjà été tant de fois dit et redit sur la poésie de Jacques Crickillon. J’ai moi-même, suivant sa carrière pas à pas, à chaque nouveau recueil souligné ces faits que tout lecteur attentif sait désormais: Crickillon a façonné et continue d’agencer un univers poétique original, loin des courants les plus actifs aujourd’hui dans le domaine français, mais au même très haut niveau que les meilleurs représentants de ces courants.

Jacques Gérard Linze

Jacques Crickillon

pour

Un territoire avec des mots

Poète, dramaturge, prosateur: j’ai choisi le prosateur. Limitation arbitraire, car il n’y a pas deux, ni trois Crickillon. Comme tout écrivain authentique, celui-ci marque son territoire avec des mots, le conquiert texte après texte. Tantôt la forme est poétique, tantôt prosaïque, souvent l’un et l’autre, mais le territoire est toujours fondamentalement le même.

Jean Muno

Jacques Crickillon

pour

L’œil écoute

La célèbre formule de Paul Claudel, “L’œil écoute”, s’accorde tout à fait à l’écriture poétique de Jacques Crickillon. Elle désigne l’incessant passage, dans ses livres, du visible au lisible, du voir à l’entendre. Lien étroit et dynamique entre deux mondes que la tradition logocentrique a opposés, depuis Platon et même les présocratiques, celui du donné, de l’épaisseur sensible et celui de la parole comme lieu de l’Être, de la Vérité.

André Miguel

Jacques Crickillon

pour

Danser entre les barreaux

Un chapitre de l’essai entamé par Julien-Paul Remy sur le théâtre de Jacques De Decker.

Julien-Paul Remy

Jacques De Decker

pour

DON, la face cachée d’Henri Vernes

D’aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours bien entendu avec Henri Vernes. N’ayant pratiquement lu aucun de ses romans, les choses paraissaient pourtant mal engagées. Mais, paradoxalement, c’est, je pense, ce qui nous a rapprochés. Enfin quelqu’un qui n’allait pas lui rabâcher les oreilles avec “l’aventurier”!

André Taymans

Henri Vernes

pour

À Marcel Moreau, que j’ai perdu

Je me sens, mon ange, de ces tendresses brûlantes, mais pures, cette même ivresse qui, gamine, me liait à ton Verbe. Soixante ans d’écart. De proximité.

Paloma Hermine Hidalgo

Marcel Moreau

pour
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