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Contributions

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DON, la face cachée d’Henri Vernes

D’aussi loin que je me souvienne, je me suis toujours bien entendu avec Henri Vernes. N’ayant pratiquement lu aucun de ses romans, les choses paraissaient pourtant mal engagées. Mais, paradoxalement, c’est, je pense, ce qui nous a rapprochés. Enfin quelqu’un qui n’allait pas lui rabâcher les oreilles avec “l’aventurier”!

André Taymans

Henri Vernes

pour

À Marcel Moreau, que j’ai perdu

Je me sens, mon ange, de ces tendresses brûlantes, mais pures, cette même ivresse qui, gamine, me liait à ton Verbe. Soixante ans d’écart. De proximité.

Paloma Hermine Hidalgo

Marcel Moreau

pour

Il a deux langues…

Il a deux langues, au moins. Lui imposerait-on, comme à moi enfant, de n’en garder qu’une? Non. D’ailleurs une telle injonction peut mener à une passionnante polyglossie — j’en sais quelque chose. De toute façon, Rio cultivera la langue de la poésie.

Rose-Marie François

Rio Di Maria

pour

Feu sacré

C’est l’été 2005. Il est le premier, après mes stages dans l’édition, à répondre à la candidature spontanée que j’envoie sous nos belges latitudes — mais tous azimuts — dans le petit – mais encore assez foisonnant — monde dit du livre. Je marche dans Coxyde lorsque je reçois son appel. Rendez-vous est pris au Métropole — café mythique dans lequel petit provincial aimanté par Paris je n’ai jamais mis un pied.

Rémi Bertrand

Jacques De Decker

pour

Le plat pays de Jacques

C’est peu dire que Jacques m’avait encouragé: il m’avait immédiatement proposé de créer au sein de cette maison une collection de traductions d’œuvres littéraires flamandes: “Le Plat pays”.

André Versaille

Jacques De Decker

pour

Franck

J’ai connu Franck il y a un bail. Il me semble qu’il a toujours été le même, dans les grandes lignes, drôle et désabusé, tendre et acerbe, égocentré et attentif aux autres, il aimait prendre la mer, cet élément calme et hostile: un paradoxe sous cheveux blancs.

Sylvie Dazy

Franck Balandier

pour

Pour Werner

Les mots de Werner Lambersy… Ils sont venus à moi par l’entremise de mon ami Otto Ganz, poète des brumes et de l’inaudible… Sait-il que la poésie de Werner a défriché un sentier dans mon imaginaire? J’aurais du mal à rendre hommage à Werner sans l’associer à Otto… Leurs univers partent du même souffle, de la même attention au vivant… du moins, c’est ainsi que leur poésie arrive en moi…

Anne Guilbault

Werner Lambersy

pour

Je te montrerai Aubervilliers

Il faisait froid. La nuit était déjà tombée quand je suis arrivé devant le café Zimmer, place du Châtelet. Franck s’était installé à une table près de la vitre, et il m’a adressé un signe pour le rejoindre. Novembre 2019, si je ne me trompe, quelque temps avant que s’abatte le couvercle du covid. Nous n’en savions rien encore, et les Chinois se promenaient encore dans Paris sans susciter le moindre regard réprobateur.

Francesco Pittau

Franck Balandier

pour

C’est quoi, cette histoire?

C’est quoi, cette histoire? Je sais bien, moi, que Franck n’est pas parti. Chaque fois que je passe devant le café Zimmer, place du Châtelet, il est là, installé en terrasse. Il me suit du regard, un sourire plein de malice sur les lèvres.

Luc-Michel Fouassier

Franck Balandier

pour

Un au-revoir

C’est la première et dernière fois, en quinze ans d’amitié, que je t’appelle par ton vrai prénom, ce doit être une circonstance exceptionnelle. Je ne suis pas présent aujourd’hui, j’ai donc confié la lourde tâche à notre amie, la belle Aurélie, de lire ce petit message.

Alain De Grauw

Henri Vernes

pour
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