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Contributions
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Il a deux langues…
Il a deux langues, au moins. Lui imposerait-on, comme à moi enfant, de n’en garder qu’une? Non. D’ailleurs une telle injonction peut mener à une passionnante polyglossie — j’en sais quelque chose. De toute façon, Rio cultivera la langue de la poésie.
Rose-Marie François
Rio Di Maria
pour
Feu sacré
C’est l’été 2005. Il est le premier, après mes stages dans l’édition, à répondre à la candidature spontanée que j’envoie sous nos belges latitudes — mais tous azimuts — dans le petit – mais encore assez foisonnant — monde dit du livre. Je marche dans Coxyde lorsque je reçois son appel. Rendez-vous est pris au Métropole — café mythique dans lequel petit provincial aimanté par Paris je n’ai jamais mis un pied.
Rémi Bertrand
Jacques De Decker
pour
Pour Werner
Les mots de Werner Lambersy… Ils sont venus à moi par l’entremise de mon ami Otto Ganz, poète des brumes et de l’inaudible… Sait-il que la poésie de Werner a défriché un sentier dans mon imaginaire? J’aurais du mal à rendre hommage à Werner sans l’associer à Otto… Leurs univers partent du même souffle, de la même attention au vivant… du moins, c’est ainsi que leur poésie arrive en moi…
Anne Guilbault
Werner Lambersy
pour
Je te montrerai Aubervilliers
Il faisait froid. La nuit était déjà tombée quand je suis arrivé devant le café Zimmer, place du Châtelet. Franck s’était installé à une table près de la vitre, et il m’a adressé un signe pour le rejoindre. Novembre 2019, si je ne me trompe, quelque temps avant que s’abatte le couvercle du covid. Nous n’en savions rien encore, et les Chinois se promenaient encore dans Paris sans susciter le moindre regard réprobateur.
Francesco Pittau
Franck Balandier
pour
C’est quoi, cette histoire?
C’est quoi, cette histoire? Je sais bien, moi, que Franck n’est pas parti. Chaque fois que je passe devant le café Zimmer, place du Châtelet, il est là, installé en terrasse. Il me suit du regard, un sourire plein de malice sur les lèvres.
Luc-Michel Fouassier
Franck Balandier
pour
Un au-revoir
C’est la première et dernière fois, en quinze ans d’amitié, que je t’appelle par ton vrai prénom, ce doit être une circonstance exceptionnelle. Je ne suis pas présent aujourd’hui, j’ai donc confié la lourde tâche à notre amie, la belle Aurélie, de lire ce petit message.
Alain De Grauw
Henri Vernes
pour
Ondes mélancoliques de choc
On ne chemine pas impunément avec Guillaume Apollinaire. Certes il est toujours possible de s’en remettre à la seule culture, ce qui, plus ou moins fade simulacre, ne saurait par essence convenir à la poésie. Tant cette dernière se refusera toujours à considérer le verbe d’un côté et la chair de l’autre. Le poète d’une seule pièce étant animal incurable de transcendance.
Jehan Van Langenhoven
Franck Balandier
pour
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